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 Fiche Anarchy Akker

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Elliot Hayaki
Elliot Hayaki
Messages : 20
Date d'inscription : 09/04/2015

MessageSujet: Fiche Anarchy Akker   Fiche Anarchy Akker EmptyJeu 9 Avr - 13:18



Δ Anarchy Akker


Nom : Akker
Prénom : Anarchy
Sexe : M
Orientation sexuelle : Bisexuel
Âge : Vingt-quatre ans
Métier : Mercenaire
Groupe : Bad Gamer
Alignement : Mauvais
Royaume de base : Glace
Arme de base : Dagues


Pouvoir : Copie de pouvoir

Capacité à pouvoir reproduire le pouvoir d'autrui à condition de l'avoir vu.
Le pouvoir copié doit être utilisé dans les trois heures qui suivent sans quoi il sera considéré comme obsolète et ne pourra pas être utilisé à moins de le copier de nouveau.

Effets négatifs : Lorsqu'il utilise son pouvoir, Anarchy n'est alors plus capable de copier pendant le laps de temps où il peut utiliser le pouvoir d'autrui. De plus, il ne peut pas copier plus de trois pouvoirs au grand maximum par jour, car cela lui demande une capacité de mémoire trop importante pour l'homme. Si cette limite est dépassée, cela peut entrainer une perte totale de la capacité de départ et donc la perte de l'utilisation de tout autre pouvoir.
Fiche Anarchy Akker 1420656674-presentation-anarchy

Caractère


Calme. Gentil. Prévenant. Attentionné. On a presque l’impression que tu n’es pas réel tellement ces adjectifs sonnent mielleux et doux. On te croit timide parce que tu ne parles pas vraiment des masses lorsqu’on te rencontre. On dit de toi que tu es juste un jeune homme sympathique, mais peut-être un peu trop embarrassé par la moindre remarque. On pense que tu ne peux pas être quelqu’un de mauvais. On pense que tu n’es pas ce genre de personne qui cherche la bagarre pour un rien.  On dit toutes sortes de choses sur toi. On le dit sans prendre en compte ton avis. Sans prendre en compte ce que tu en penses. On ne te demande pas si ces remarques te gênent. On ne te demande pas ce que tu ressens vraiment vis-à-vis de ces propos. À vrai dire, on ne te demande jamais rien.

Ils devraient. Les gens devraient prendre en compte ton opinion. Les gens devraient vraiment arrêter de te juger juste parce qu’ils t’ont aperçu une ou deux fois trainer dans la ville sans parler à personne. Oui ces gens devraient vraiment arrêter de sauter aux conclusions sans preuve, car en réalité cette personne qu’ils décrivent comme étant un modèle de gentillesse attendrissante ce n’est pas toi. Tu n’es pas cette personne et tu ne l’as jamais été. Tu n’as pas souvenir d’avoir ne serait-ce qu’une fois avoir fait une bonne action pour le bonheur d’aider autrui. Si tu fais quelque chose, ce n’est que dans ton propre intérêt. Si tu aides quelqu’un, c’est forcément pour avoir quelque chose en retour. On n’a rien sans rien, alors pourquoi devrais-tu faire quelque chose pour faire simplement plaisir ?

Tu es un type détestable Anarchy.  Quelqu’un avec qui l’on ne veut pas trainer, avec qui l’on refuse de parler de peur de se faire poignarder par ses propres mots. Tu es le premier à vouloir créer des ennuis aux autres. Le premier dans les plans foireux. C’est vrai, tu ne prends pas souvent part aux bastons qu’on peut trouver en rue en revanche, tu es le premier à la chercher. Plutôt que de se jeter dans la mêlée, tu préfères regarder le plus gros s’éclater la tronche entre eux pour ensuite arriver comme une fleur et finir ceux qui restent encore debout. Tu prends plaisir à détruire ce que les autres mettent cœur et âme à construire. Ton bonheur ? Semer le trouble dans une équipe et voir la méfiance éclairer les visages. Tu aimes voir la manière dont l’être humain doute de ces semblables dès qu’il est confronté à un stress ou à un danger alors que deux minutes plus tôt il parlait encore de confiance et de travail d’équipe.

On a beau chercher, te trouver des qualités n’est pas vraiment chose facile. Toutefois, on peut dire que tu es têtu, tu restes très fidèle à ce que tu décides de faire. Dès que t’as quelque chose en tête, tu n’en démords bien et, bien souvent, ce n’est pas bon signe quand tu es si obstiné. Tu n’es pas non plus un monstre, tu sais te montrer compatissant avec autrui, tu sais arrêter d’enfoncer les gens lorsqu’ils ne vont pas bien. C’est juste qu’il faut que tu aie la motivation pour le faire ou que tu apprécies vraiment cette personne pour arrêter de l’emmerder comme tu le fais à longueur de journée. C’est vrai, tu es un chieur né. Si tu vois que quelque chose déplait, tu te sentiras obligé de le faire juste pour énerver. En fait, tu t’ennuies juste tellement que tu occupes le temps comme tu le peux. Pour toi,  tu prends la vie comme un  jeu, alors quelle différence cela te fait d’être prisonnier d’un jeu virtuel ou d’être prisonnier de la vraie vie ? Tant que c’est amusant tu ne vois pas de grandes différences.

Physique


Grand, petit, moyen. T’en as rien à faire de ta taille et tu n’y fais pas plus attention que ça. Tu ne t'es jamais vraiment mesuré, mais tu dois sans doute faire dans les un mètre quatre-vingt. Ton poids ? Tu t’y intéresses presque autant qu’à ta taille. En gros, tu t’en fous et de toute manière qu’est-ce que ça t’apporterait de le savoir ? Pour faire un régime car tu es trop gros ou au contraire manger plus car tu es trop maigre ? Ta musculature est là, elle est bel et bien présente quand bien même elle ne se voit pas des masses si l’on ne cherche pas à la remarquer. Tu n'es pas comme ces types baraqués et dopés aux hormones. Tu ne cherches pas à tout prix à être super musclé et à les montrer aux autres, mais il est vrai que de temps à autre tu aimes bien faire du sport pour faire passer le temps.

Tes cheveux sont courts et surtout en bataille. Jamais vraiment coiffés, jamais vraiment sans mèches rebelles en même temps tu ne fais pas grand-chose pour les dresser plus que ça. Argents, blancs, gris, pour toi la couleur dépend de la vision de la personne qui regarde ta chevelure et cela change souvent. Tu préfères dire qu'ils sont argents, mais ce n'est que parce que tu le souhaites et que tu trouves cela plus classe que de dire que tu as déjà des cheveux gris. Ta particularité ? Tes yeux sans doute. Bleu. Trop bleu. À ce stade-là c'est limite anormale d'avoir une couleur aussi claire. Tu ne sais pas trop pourquoi, mais ta couleur de base a été accentuée à son maximum à cause du jeu, mais tu as fini par t’y faire.

On te fait souvent la remarque que ton regard est un peu étrange, mais, pour toi tant que ça rend ton visage séduisant, tant que ça permet de faire en sorte que l’on ne t’oublie pas, ce genre de remarque ne te fait ni chaud ni froid. Tu aurais très bien pu les avoir roses que cela aurait été du pareil au même et puis, dans ce nouveau monde t’es pas le seul à être bizarre. Un nez droit, des oreilles souvent masquées par tes cheveux ou par une capuche et des lèvres fines tout ce qu’il y a de plus banal pour un être humain. Tu as des lèvres dont le sourire peut faire peur, dont le sourire peut séduire, peut amadouer. Tes lèvres te servent à parler, à insulter et à murmurer, tu prends malin plaisir à les utiliser pour obtenir ce que tu veux avoir.

Et ta façon de t'habiller et pas si mauvaise que ça quoi qu'en dise les autres. Elle te correspond, elle ne veut pas forcément dire quelque chose, elle ne sait pas forcément ce qu'elle représente. Pantalon noir, baskets montantes et T-shirt bien souvent bleu ou vert. Sur ce t-shirt simple une veste. Un peu comme un sweat mais plus chaud. Capuche pour cacher ton visage et poche pour planquer si tu voles. En soi tu sembles plutôt banal.

Histoire


Cours, vole, pille tant que tu le peux encore gamin. Joue, pleure, ris tant qu’il en est encore temps. Parce que bientôt tu regretteras ton choix. Parce que bientôt tu te rendras que ce monde n’est pas si bien que ça. Tu te rendras comptes tôt ou tard dans quoi tu t’es fourré, dans quelle merde tu es arrivé. Et tu finiras comme tous ces autres joueurs, tu finiras par te perdre toi-même. Par devenir quelqu’un d’autre, par changer sans le vouloir. Et tu deviendras quelqu’un de détesté, de haï. Quelqu’un qu’on ne peut apprécier.

First Step

Tout allait pour le mieux, rien n’était anormal. Une enfance banale, morne et ennuyante. Une jeunesse où rien ne t’est arrivé, où rien ne s’est passé. Tu te surprends parfois à rêver de ce qui pourrait se passer s’il t’était arrivé quelque chose. Si tu pouvais vivre une aventure exceptionnelle. Et tu souris en y pensant, et tu trouves cela amusant. Si seulement tu savais. Si seulement tu avais pu savoir ce qui allait se passer. Mais il n’en est rien. Mais tu n’as pas su voir le pire arriver. Et tu as continué ta vie comme si de rien n’était, comme si tout allait toujours continuer. Tu as continué ta vie d’enfant aimé par ses parents, d’enfant qui veut faire plaisir. Qui ramène de bonnes notes, qui écoute, qui aide. Ta vie de bon petit garçon bien sage, peut-être même un peu trop sage. Mais tu as fini par comprendre qu’être comme ça n’était pas le mieux. Tu as pris conscience qu’être gentil n’était pas quelque chose de bénéfique. Tu l’as remarqué lorsque les filles ne s’intéressaient pas à toi car tu étais trop docile. Tu l’as vu lorsque les garçons ne voulaient pas jouer avec toi car tu refusais de faire des choses dangereuses. Et petit à petit, tu as commencé à changer, à devenir moins sympa, moins bon.

Tu n’étais définitivement plus le même au lycée. Tu as commencé à fumer, à sécher les cours. Et tu refusais d’obéir, tu refusais d’être gentil. Tu ne voulais plus que t’amuser et n’en faire qu’à ta tête. Teddy, tu ne pensais plus qu’à toi. Jamais tu n’as pensé à tes parents. Jamais tu ne t’es dit que tu les blessais, que tu avais fait le mauvais choix. Eux n’ont jamais compris pourquoi tu avais changé. Eux aussi avaient tout aussi tort que toi. Ils ont abandonné l’espoir de revoir leur doux et tendre Teddy. Ils n’ont pas cherché à te comprendre. Et les parents et le fils ont commencé à s’éloigner. Tant et tellement qu’ils en sont devenus étrangers l’un pour l’autre. Tant et si bien que c’était devenu comme si tu ne faisais que loger dans leur maison, comme si tu n’étais plus que quelqu’un qui habiter au même endroit. Plus une parole, plus un geste, plus rien. Ni même un regard, ni même une intention.Ta famille n’était plus. Elle aussi avait changé. Elle aussi avait commencé à disparaître en même temps que cet ancien toi.

Tu n’as pas compris sur le coup et tu as sans doute encore du mal à comprendre. Ce que tu sais, c’est que tu as ta part de responsabilité dans l’histoire. Ce qui est sûr c’est que tu ne pourras pas revenir en arrière. Que ce changement tu vas devoir t’y habituer et l’accepter. Et plus le temps est passé, plus tu as grandi, plus tu t’éloignais de tes parents. Tu es parti dès que tu l’as pu comme si tu voulais fuir ces inconnus. Tu es parti comme un lâche, tu es parti sans un mot, sans un bruit. Et eux n’ont jamais cherché à te trouver, jamais cherché à te revoir. C’était comme si leur Teddy était mort en même temps que tu as changé. Mais tu ne regrettes pas, tu ne regrettes rien. Tu continues ta vie comme tu le veux, comme tu le peux. Boulot à mi-temps par-là, glandage par-ci. Tu ne mènes pas une vie très palpitante, tu ne mènes pas une vie très plaisante. Mais cette vie, tu l’as choisi Teddy. C’est toi qui l’as voulu. Alors, même si les autres te plaignent, même si les autres se moquent toi, tu t’en fous. Tu t’en fous car tu as pu choisir ta manière de vivre. Car contrairement aux autres tu n’es pas couvé par ta famille. Tu n’es pas aidé ni encouragé. Car tout ce que tu as, tu l’as obtenu par toi-même et c’est cela qui te différencie d’eux, c’est de cela que tu es fier.

The begin of the doubt

Depuis un certain temps, ils n’ont tous que ce mot-là à la bouche. Ils n’ont que ce titre en tête, que cette irrépressible envie de le voir, de l’avoir. Tu ne comprends pas pourquoi tant d’hystérie autour de toi pour cette chose. Tu ne comprends pas en quoi c’est si incroyable, en quoi cela peut faire tant de bruit. Et même si tu t’en moques, même si tu ne t’y intéresses pas personnellement, tu finis par écouter. Tu finis par suivre ces ragots, prêter oreille à ce qui ce dit là-dessus. Pourtant il n’est pas encore sorti. Pourtant rien ne peut garantir que ce soit si génial. Non décidément tu ne comprends pas ce qui peut être si intéressant là-dedans. Tu n’arrives pas à saisir pourquoi tant de monde est prêt à tout donner pour l’obtenir. Après tout, ce n’est rien de plus qu’un simple jeu non ? Après tout, ce n’est rien de plus qu’un univers fictif, rien qui ne peut prendre autant d’importance dans une vie. Oui, tu n’arrives pas à savoir pourquoi tant de gens sont prêts à dormir plusieurs nuits devant le magasin qui le vendra, pourquoi un simple disque peut faire autant de bruits. Tu pensais que cela ne t’intéressait pas, tu pensais que cela ne te toucherait pas. Et pourtant, tu as commencé à suivre ce qui se disait à son sujet, tu as commencé à t’intéresser de plus près à ce jeu vidéo.

Et tu as fini par craquer. Tu as fini par faire comme le trois quarts des gens qui ont vu le trailer. Tu l’as acheté, tu as claqué ton fric dans un pauvre jeu que tu ne jugeais à la base pas si bien que ça, pas si intéressant que ça. Tu ne t’y attendais pas. Tu ne savais pas ce qui allait se passer. Sans doute que tu ne l’aurais pas acheté si tel avait été le cas. Sans doute que jamais il n’aurait vu le jour si on savait ce qui allait se passer. Si on savait l’ampleur que cela allait prendre… Mais ce n’était pas le cas. Mais comme tous ces autres joueurs du monde entier, tu t’es fait avoir. Tu as tout perdu ce jour-là. Tu as tout repris à zéro ce jour-là. Mais à ce moment, tu ne le savais pas encore. Tu n’avais pas compris que c’était le début d’une nouvelle vie bien différente de celle que tu as menée jusqu’à ce jour. Et au moment où tu l’as eu entre tes mains, au moment où tu es rentré chez toi, tu as fait comme eux. Tu es directement allé allumer ton ordinateur, tu as directement voulu y jouer. C’est sans doute cette impatience qui t’a coûté cher. Si tu avais attendu, si seulement tu avais pu patienter, alors tu aurais peut-être remarqué que quelque chose ne tournait pas rond avec ce jeu, alors peut-être que tu aurais pu éviter ce qui t’est arrivé. Et pourtant, tu as mis le jeu dans le lecteur. Et pourtant, tu as commencé à créer ton personnage. Tu avais presque fini en peu de temps. Tu avais rapidement choisi ton royaume, ton arme, tout. Il ne te manquait plus que ton nom. C’est sans doute l’étape la plus difficile pour toi. Jamais d’idée, n’aimant pas ton propre prénom pour pouvoir le mettre en pseudo. En même temps, Teddy ça ne fait pas des plus classes comme pseudo… Un peu trop mielleux et enfantin à ton goût. Alors pourquoi ne pas changer de prénom ? C’est sans doute le meilleur choix à faire.

Et tu cliques sur O.K. Et tu lances le jeu en allant sur COMMENCER. Puis plus rien. Rien que tu ne peux comprendre. Tu étais dans ton fauteuil, chez toi et maintenant, tu es dans un endroit glacial. Un endroit où le temps semble s’être arrêté sur une saison en particulière, où le temps semble avoir voulu rester en hiver toute sa vie. Et tu soupires en voyant ce paysage déstabilisant. Et alors que tu commences à avancer dans l’espoir de comprendre ce qui se passe, tu te rends compte que tu possèdes également une arme. Pourquoi ? Comment ? Tu ne sais pas non plus. Mais ce qui t’intrigue c’est que c’est exactement ce qu’avait ton personnage. Ce que tu trouves bizarre c’est que cet endroit est bien trop beau, bien trop gelé dans le temps pour être réel. Et tu continues à te poser des questions. Pourquoi es-tu ici ? Comment y es-tu arrivé ? Pour quel quelle un tel endroit existe ? Et tu finis par remarquer que tu n’es pas le seul. Tu finis par comprendre que d’autres gens ont eux aussi atterri là sans trop savoir pourquoi et comment. Et les morceaux se recollent un à un. Tu y vois plus clair, tu commences à comprendre et tu finis par réaliser où tu te trouves. Tu comprends enfin que tu te trouves dans le jeu, dans la ville que tu as choisie, avec le personnage que tu voulais jouer. Ce que tu ne comprends pas c’est comment cela se fait-il que ce soit toi, ton vrai toi et non ton avatar qui s’y trouve. Ça tu n’en sais rien et de toute évidence, les autres joueurs non plus n’ont pas l’air d’avoir la réponse.

Qu’importe le pourquoi du comment. Qu’importe ce qui a bien pu se passer pour que vous vous retrouviez tous là. La seule chose à laquelle tu dois penser maintenant c’est vivre, c’est survivre. Même si tu n’es que dans un jeu vidéo, il y a toujours un risque pour que d’autres joueurs veuillent s’amuser à tuer les petits nouveaux, il y a toujours un risque que tu deviennes une cible potentielle. Concentre-toi sur ton avancée, concentre-toi sur ta vie à toi. Ne cherche pas à vouloir aider autrui, car nul ne sait s’ils seront là pour toi en retour. Ne cherche pas à vraiment te lier d’amitié, car qui sait quand ils te trahiront Anarchy. Ne pense plus qu’à toi. À toi et à toi seul. Black Hole est loin d’être le jeu amusant et innocent que tu penses Anarchy. Il est loin d’être gentil et affectueux. Il te prive de tout ce que tu as vécu avant, il t’a enlevé ta famille, enlevé ce que tu possédais. Tu repars de rien. Tu repars à zéro. Alors pourquoi devrais-tu être gentil avec lui ? Pourquoi devrais-tu donner de l’aide à ceux que tu ne connais même pas ? C’est vrai qu’au départ tu faisais ton mieux pour aider les autres, tu faisais de ton mieux pour les réconforter, les rassurer, mais toi, jamais personne n’est venu t’aider. Jamais personne n’est venu te tendre la main. Alors, tu as fini par comprendre après plusieurs mois à tourner en rond dans ce maudit univers de pixels. Tu as fini par reconnaître que tes chances sont plus grandes si tu ne penses qu’à toi. Tu as fini par admettre que tu ne pouvais plus te permettre d’être le nouveau Teddy. Et tu as changé encore une fois. Et tu es devenu pire que ce que tu n’étais déjà…

Teddy n’existe plus pour de bon. Tu ne te reconnais plus sous ce nom. Tu ne veux plus entendre ce nom. Tu es Anarchy et c’est tout. Si on te le demande, tu l’auras toujours été. Jamais tu n’auras pensé à ta famille, jamais tu n’auras pleuré en pensant à ton chez-toi, en voulant retourner sur Terre, dans ton monde d’origine. Tu ne le feras plus, car c’est fini. Car maintenant Black Hole est ton monde. Car maintenant ta vie c’est ici et pas là-bas. Pas dans un endroit que tu as déjà commencé à oublier, pas dans un lieu où tu te souviens à peine des gens qui ont pu t’entourer. Black Hole est un jeu dangereux, un jeu ou ta vie ne vaut pas beaucoup. Un jeu où il est facile de tromper, de duper, de rouler. Un jeu où le plus malin gagne, où seuls les plus forts peuvent se permettre le luxe.  Et tu fais partie de ce jeu. Anarchy, ton histoire vient de recommencé, tu viens d’avoir une nouvelle vie, un nouveau toi. Et maintenant, tu comptes bien en profiter toi aussi. Tu comptes bien t’y amuser à ton tour. Tu n’es plus le nouveau qui ne comprenait pas. Tu n’es plus l’imbécile qu’on pouvait voler facilement, plus l’idiot qui croyait tout. Maintenant c’est à ton tour de duper, de tuer et d’emmerder. Puisqu’il faut jouer, puisqu’il faut être fort alors tu vas le faire, alors tu vas t’en donner à cœur joie. Car maintenant Anarchy, tu n’as absolument plus rien à perdre si ce n’est ta vie. Alors si on la veut, qu’on vient te la prendre, qu’on vient te l’arracher, mais tu les attendras. Tu seras prêt à te battre, prêt à en prendre d’autre pour sauver la tienne. Parce qu’après tout, c’est ça pour toi Black Hole.

Derrière l'écran



Pseudo/Prénom : L'algue ou Ren
Avez-vous des DC : Ren Yamazaki
Âge : 18 ans
Comment avez-vous connu le forum : bonne question m'en souviens plus du tout depuis le temps '-'
Comment le trouvez-vous : Comme toujours magnifique et avec une bonne ambiance ♥ et en plus il a un an maintenant biatch !
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Fiche Anarchy Akker

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